Laboratoire des Écoulements Géophysiques et Industriels




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Bon vent à Mile et Steph

Les laboratoires grouillent de vie, la majorité des personnels (les stagiaires, les doctorants, les post-doctorants...) ne sont là que quelques mois ou quelques années. Ainsi les arrivées et les départs sont choses courantes, parfois tristes, parfois joyeuses !

Il en est de même pour les permanents avec une latence souvent légèrement plus élevé. Ainsi deux techniciens du LEGI nous ont quitté pour voler vers d’autres horizons :

JPEGMile Kusulja. Arrivée en 1995, il devient titulaire dès 1997 et travaille à partir de l’an 2000 au bureau d’études puis au service support aux expériences en 2005 avant de revenir au nouveau bureau d’étude recrée en 2015. Parmi ses très nombreuses réalisations (mais quelle manip du LEGI n’a pas sa petite touche Mile dans ses gênes ?), il a récemment participé à la rénovation de la veine de cavitation (7m de long), au nouveau chariot transversal (13m de long sans appui au sol) ainsi qu’aux batteurs à vagues de la plate-forme Coriolis.

JPEGStéphane Mercier. Arrivée en 1999 sur le site du Polygone où se trouvait la première plate-forme Coriolis, il participe avec toute l’équipe au suivis et à la maintenance de ce grand équipement. En 2006, Stéphane se déplace sur le campus de Saint-Martin d’Hères sur le site principal du laboratoire et intègre lui aussi le service support aux expériences. En 2011, de plus en plus tourné vers le pilotage et l’acquisition, il intègre pleinement le service instrumentation et travaille plus particulièrement sur les cuves tournantes et les canaux, grands et petits, à pentes fixes ou variables... ainsi que sur les mesures in situ au Grand Colon et dans la vallée de Passy. Sa formation initiale de chimiste le positionne rapidement comme le référent chimie et dans la foulée, responsable du magasin.

JPEGLa nouvelle vie de Mile à l’IUT l’amène au plus près des étudiants, sur des plate-formes pédagogiques, un cadre de travail assez éloigné de celui de laboratoire mais tout aussi passionnant. De son coté, Stéphane bascule sur l’IRD au laboratoire ISTerre avec de nombreux projets de mesures (sismiques ou autres) sur le terrain, en métropole ou à l’étranger. Merci à tous les deux pour toutes ces années passées au laboratoire LEGI et bonne chance dans leurs nouvelles perspectives de vie.